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Un sticker sur le cd l’annonce clairement : c’est la « new symphonic metal sensation » !
Mais bon, nous, on ne nous la fait plus, parce que trop souvent, côté sensations, ça l’a pas vraiment fait.
Production Sascha Paeth, précise-t’on. On hausse un sourcil. Mais bon, là aussi, ça n’a pas forcément toujours « paether » le feu.
Alors, hop, je glisse la galette dans le lecteur, parce que je suis comme ça, moi, j’aime l’aventure…
Belle intro instrumentale, genre musique de film, qui monte en puissance jusqu’au premier vrai morceau. Côté son, on est rassuré, c’est puissant et limpide. Puis la voix d’Andrea retentit et c’est la divine surprise. Non, elle n’essaie pas de nous imiter Tarja ou Sharon, pas du tout. Il faudrait plutôt chercher entre Enya et Liv Christine, entre Lene Marlin et Tanya Whispers – débrouillez-vous avec ça !- avec un côté pop acidulé tout simplement charmant.
Et là, bien sûr, on s’inquiète, parce que papa Paeth, il va nous l’écraser ce bel organe, avec sa méga-production.. Et ben pas du tout ! Voix et instruments cohabitent en parfaite harmonie.
La classe totale. Mélodies simples et bougrement efficaces, refrains souvent en forme d’hymnes (The Neverending Story, Hymn entre autres)
Fables of Dreams est LA ballade qui fera fondre vos vilains cœurs de metalleux inoxydables.
Chantée à plusieurs voix ( très belle prestation vocale d’un certain Jean-Marc Viller) elle vous colle le frisson. Garanti !.La classe, je vous dis.
Alors voilà un cd que vous, fans de voix féminines, pourrait ranger sans aucune honte au côté du dernier Nightwish, du dernier Within Temptation – note à Shao, auquel je mets, moi, 18/20- ou au côté de votre digibook conservé sous blister d’ Epica.
Des italiens à suivre de très prés et dont j’attends la prochaine galette un rien haletant.
Un gros bisou à Andrea, parce qu’elle le vaut bien.PapaDuck.

0 Comments 27 novembre 2004
Whysy

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