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C'est après le très bon et original concert de Koritni à Monaco (compte-rendu ici) et un bon moment à discuter avec Chris Brown leur batteur que je rejoins le guitariste français de la bande, le très sympathique Eddy Santacreu dans la loge du groupe pour une demi-heure à parler de la tournée en cours, de leur nouvel et excellent album Game of Fools (chronique) et de l'évolution de Koritni, le tout avec un ton très confiant sur l'avenir du groupe.

Spade: Et bien commençons par parler du concert de ce soir : comment as-tu trouvé la salle ? Assez Originale ?

Eddy Santacreu: Oui, salle super sympa, c’est vrai que c’est un peu des conditions nouvelles pour nous, faire ambiance « caf’conc’ » comme ça où les gens sont assis à des tables, mais c’est vrai que ça a bien pris, il y avait quand même des gens qui bougeaient pas mal, qui étaient debout, qui sautaient partout… Non vraiment, en plus, c’était bien rempli ; la salle est vraiment organisée de façon sympa, on peut aller se balader dans la salle, monter dans les étages et tout… non, on s’est bien marré, c’était vraiment un bon concert, j’espère vraiment qu’on aura l’occasion de revenir à Monaco.


C’est vrai que c’est assez génial de voir le groupe s’approprier la scène.

Ah oui, mais nous on en profite, la scène est pas forcément très très grande, mais on pouvait bouger, du coup on pouvait se déplacer entre les tables, aller voir les gens. On aime bien faire ça, on rigole, et je pense que c’est intéressant visuellement…c’est pour faire le spectacle !


Et si le public ne vient pas à Koritni, c’est Koritni qui vient au public !

Exactement, voilà ! Si vous venez pas, on vient vous chercher !



Et sinon, globalement, comment se passe la tournée ?

Super bien, jusqu’à présent, on est toujours bien accueilli partout, toujours un public d’enfer, de plus en plus nombreux, on arrive à faire des salles de plus en plus importantes et surtout à bien les remplir, c’est quand même le plus important. Et puis là c’est bientôt la fin de la tournée, il nous reste encore je crois 5 dates : en Belgique… et on fait le Hellfest.


J’y serai.

Et bien…nous aussi (rires)


C’est mieux !

Non, et puis le ShowBike Aquitaine…pas mal de choses…c’est vraiment une très bonne tournée.



Et puis, pour avoir assisté aux deux concerts à Peymeinade, on remarque que les gens viennent maintenant parce qu’ils connaissent le groupe.

Ouais, il y a plein de gens qui étaient là il y a 1 ans ½, 2 ans, et ça fait plaisir de les revoir. Et non seulement on revoit les mêmes têtes, mais cette année, la salle à Peymeinade était vraiment bien pleine, et c’est vraiment sympa, on est bien accueilli. En plus, Peymeinade, c’est une ambiance plus familiale avec l’association Tribal Roch, chaque fois on s’éclate bien.


C’est vrai que c’est pas à tous les concerts que l’on peut voir une buvette avec barbecues…

C’est vrai, en plus ils faisaient des Koritni Paninis, je sais pas si t’as vu…


Oui, ben c’est celui que j’ai pris d’ailleurs.

Il était bon ?


Il était très bon…un peu chaud…(rires)…enfin bref, continuons. Vous avez fait une date à Lyon dans un festival metal.

Oui, le « Lyon Metal Fest 4 ».


Et comment ça s’est passé ? Parce qu’il y avait beaucoup de groupes « vraiment » métal.

Et bien c’était comme son nom l’indique un festival orienté métal, on était un peu le groupe qui dénotait, et c’est vrai que ce genre de dates là, c’est toujours un peu à double tranchant. C’est-à-dire que bon, c’est vrai que nous ce qu’on fait, c’est plus orienté blues-rock, un peu Heavy mais pas très metal, et quand tu joues avec des groupes comme Dagoba…
Et puis bon, on a fait un set relativement court, ce qui est le principe des festivals, mais franchement, ça a vraiment plu, le public était à fond dedans, nous aussi, c’étaient de très bonnes dispositions…non, c’était une très bonne date.


Et qu’est-ce que tu aurais à répondre à un des chroniqueurs de cet évènement qui trouvait que tu étais le sosie de Markus Grosskopf d’Helloween ?

Tu sais, l’autre jour on m’en a fait une bonne quand même, je faisais une interview à la radio. Le mec , il me fait : « Ouais, j’ai vu dans tes influences, t’aimes bien des trucs assez différents, comme Satriani…d’ailleurs je trouve que tu lui ressembles vachement. » Je lui ai fait : « Ouais, surtout la coupe de cheveux… » (rires). Non, et puis un jour on me dit « Eddie Vedder » de Pearl jam… je ressemble à tout le monde et à personne…je ressemble à rien…voilà…(rires)


Alors, « Lady Luck » (leur premier album), tu en penses quoi 2 ans plus tard, après avoir bien tourné.

Ah, en fait, c’est vrai que « Lady Luck », il faut savoir que c’est un album qu’on a enregistré très rapidement. C’est-à-dire que du moment où on a commencé à écrire, on l’a répété, arrangé, enregistré… et tout ça, ça a été fait en trois mois. Ca a vraiment été super rapide, et c’était vraiment un album de qualité. D’ailleurs, il n’y a eu que des bonnes chroniques sur « Lady Luck », mais là, avec « Game Of Fools », on voulait prendre plus de temps, vraiment passer à la vitesse supérieure, et ça s’entend : plus de maturité, on reste dans le style mais en plus varié, et beaucoup plus travaillé, on a vraiment pris le temps, on a pris 1 an, 1 an ½ quand même à travailler dessus.


Donc tu dirais que sur ce nouvel album, il y a plus de diversité, un meilleur son ? Et que même au niveau de la voix, tout est mieux ?

Ouais, c’était un peu le but aussi, d’essayer de passer à la vitesse supérieure, et je pense qu’on a vraiment réussi notre travail, parce que jusqu’à présent, toutes les critiques, et toutes les personnes qu’on rencontre, les fans, etc…tous ont vraiment été conquis par l’album.


C’est sûr que c’est d’un niveau au dessus. Rien que le fait qu’il y ait plus de diversité, ça permet de bien reconnaître les chansons.

Exactement, et c’est un album, je trouve, tu peux l’écouter d’un bout à l’autre, et c’est varié, il y en a pour tous les goûts, tu vois. Il y a des personnes qui préfèrent celle-là…ou qui seront plus sensibles à certains styles… non vraiment, il y en a pour tout le monde !

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Vous avez travaillé avec Mike fraser une fois de plus, vous allez l’air de bien vous entendre.

Ouais, ben quand t’as la chance de travailler avec un géant, t’es garanti d’avoir un résultat sonore vraiment puissant, équilibré, plaisant à écouter, et c’est un grand honneur pour nous de bosser avec lui à chaque fois. Et puis voilà, il met toujours sa patte, sa touche magique au mix, et c’est super. J’espère qu’on aura encore l’occasion de travailler encore avec lui.


Surtout qu’il suit Lex (le chanteur) depuis Green Dollar Colour.

Oui, il a fait Green Dollar Colour, Lady Luck et Game Of Fools. C’est quelqu’un qui aime beaucoup notre musique, il n’y a rien à redire, on est toujours impatient d’entendre son mix. Et si tu veux, notre façon d’enregistrer, c’est assez brut, un micro devant les amplis, on enregistre pas des tas de trucs, pour qu’il manque pas de parties instrumentales quand on joue sur scène.


Et ne pas avoir un orchestre symphonique sur bandes.

Exactement, en on essaie d’avoir un bon son, et ensuite c’est Mike qui fait son truc et il rajoute son petit plus reconnaissable entre milles et on a un résultat impressionnant.


Et sinon, au niveau de la composition, comment ça fonctionne ? Chacun arrive avec des idées et vous bâtissez quelque chose ensuite ?

Non, en fait on a une façon de procéder qui est assez particulière. En fait, c’est principalement Lex, Luke (l’autre guitariste) et moi qui composons, et généralement, on compose tout. Par exemple, si je travaille avec Lex, je vais faire toute la zik, tout le morceau et il aura plus qu’à poser sa voix, trouver une mélodie et si il y a des changements, on réécoute et on enregistre des démos jusqu’à tant qu’on arrive au résultat. Généralement, c’est une personne qui fait la musique et qui travaille avec Lex pour finaliser.


Donc ça vous arrive très peu de jammer ?

…Pas vraiment, parce qu’on a essayé ça une fois avant d’enregistrer « Lady Luck », et le problème c’est qu’en répétition, quand tu jammes, t’as pas de recul, et tout le monde veut essayer des trucs, de mettre un peu son grain de sel. Et puis comme tu n’as pas de recul, tu vas peut-être essayer de travailler sur des idées qui ne sont pas forcément bonnes, de bonnes idées vont peut-être passer à l’as… Et puis tu écoutes différemment quand tu joues et quand tu es auditeur. On a vu que finalement on perdait plus de temps et que ce n’était pas très productif.


Pour en revenir au concert, vous avez fait plein de reprises, comment les choisissez-vous en général ?

Et bien en fait, on fait des reprises pour garder un set qui est intéressant pour le public, donner un peu un aperçu des influences du groupe et faire des reprises un peu décalées, des choses que le public n’attend pas forcément, puisqu’on joue du Michael Jackson (ndr: le bonhomme n'était pas encore décédé au moment de l'interview) arrangé façon Koritni, ou du Elvis, du Billy Idol…c’est pas forcément des choses qu’on s’attendrait à entendre chez Koritni. Mais c’est toujours sympa, on a vraiment de bons retours à ce niveau là. Bon c’est vrai que dans la setlist de ce soir on en a fait
beaucoup.

Oui, un grand mix de celles que vous faisiez avant : Judas Priest, AC/DC, Skid Row…

Ouais Skid Row, The Angels  aussi…c’est vrai que ce côté-là c’est plus pour montrer les influences que l’on a tous en commun. Et puis, il y a toujours des reprises décalées, ou des trucs vraiment qu’on essaie de reprendre exactement comme les originales, bon évidemment avec notre son, notre jeu…mais c’est ce qu’on aime. Et ce sont des styles qui se démarquent un peu de ce qu’on fait dans Koritni.


Et puis ça articule bien le set.

C’est le but.



Et sur votre précédente tournée, vous terminiez habituellement vos concerts sur quatre reprises des Guns, ce que vous ne semblez plus faire dorénavant.

Alors en fait ouais, sur la dernière tournée, l’idée c’était de faire un concept où on aurait fait tout l’album « Apetite for Destruction » (ndr : album culte de Guns n’ Roses) parce que c’était le vingtième anniversaire de la sortie de l’album. Alors on a fait ça au RaismesFest, plus ou moins car on a rajouté une reprise de…de Rose Tatoo qui avait été reprise par les Guns et une de « Use Your Illusion 2 » (ndr : autre album des Guns n’ Roses) qui était « You Could Be Mine ». Mais bon bien évidemment on a pas joué tout l’album pour cause de temps, mais c’était vraiment un truc qu’on voulait faire, et puis les gens adorent… Mais là, les Guns ça a été fait, on veut passer à autre chose. Bon on en a fait une ce soir (ndr : Welcome to the Jungle) parce qu’on voulait mettre plus de reprises, mais on en profite pour en faire d’autres, pour varier à chaque tournée. Et les gens qui viennent nous voir sur la tournée suivante savent qu’il y aura des surprises, des trucs un peu inattendus. Après, là on a fait pas mal de reprises que l’on faisait sur les tournées précédentes, on voulait en rajouter spécialement pour ce soir pour faire un set plus long, mais maintenant, il y a des vidéos sur Internet pour ceux qui veulent les voir.


Sur scène, vous semblez plus soudés qu’avant, communiquez plus entre vous.

Et bien on a beaucoup plus l’habitude de jouer ensemble, on est de plus en plus à l’aise et c’est vrai que quand tu nous vois sur scène, finalement, c’est comme on est en répet’, on arrête pas de déconner. Et puis c’est communicatif cette bonne humeur sur scène, les gens voient que non seulement on se prend pas au sérieux, qu’on est une bande de potes, mais qu’on se donne à 200% sur scène, qu’on aime ça, qu’on se marre, qu’on est à l’aise. A chaque tournée on évolue, et c’est le but, de progresser et d’avoir un meilleur show. C’est plus professionnel, t’en prends plein les oreilles et plein la vue, tu passes un bon moment, et c’est un show, pas simplement un truc où la musique est bien mais visuellement il se passe rien, il faut que ça soit un bon moment pour tout le monde.

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Revenons sur la composition. On peut voir que tu as été plus actif.

Alors il faut savoir que pour l’album d’avant, j’avais des problèmes de Visa, je travaillais, et j’avais vraiment pas le temps. J’ai fait ce que j’ai pu, je suis venu avec 3 morceaux complets…Mais là c’est vrai que sur « Game of Fools » j’ai eu plus le temps de travailler dessus.


La pochette de l’album est très réussie.

Ouais, ben écoute, jusqu’à présent, on n’a que des bons retours au niveau de la pochette. C’est encore Mark Wilkinson qui a fait la pochette, il avait faite aussi celle de notre cd/dvd live « Red Light Joint » et oui, je trouve que c’est une image qui va bien au groupe. C’est un peu rigolo, ça tourne toujours autour du thème du jeu comme « Lady Luck », et c’est plutôt réussi.


Et ça colle bien à l’ambiance.

Exactement, je trouve que c’est la première pochette qui colle vraiment à l’esprit du groupe.



Sur l’album, il y a « Tornado Dreaming » qui est assez originale dans le sens où vous n’aviez jamais fait de chanson aussi longue. (ndr : le morceau est en fait en 2 parties et va taquiner les 8 minutes)

Oui alors on a fait un petit concept. Ca a vraiment été le fruit de pas mal de travail et pas mal de prises de têtes avec Lex. C’est vrai qu’entre « Tornado Dreaming » et « Tornado Dreaming II », on a fait cinquante versions différentes pour arriver à la version finale qui est sur l’album donc ça a été un processus assez long, mais c’est pas évident d’avoir à la fin d’un album comme ça un pavé de 8/9 minutes sans que ça soit chiant, qu’il y ait une progression, que ce soit toujours intéressant à écouter. En fait c’est le but, on voulait vraiment arriver à quelque chose qui fasse pas gros pâté chiant où tu t’emmerdes au bout de deux minutes et je pense qu’on a vraiment réussi à faire ça, et dans toutes les chroniques c’est un truc qui revient, les gens apprécient, l’attendent vraiment en live.


Et puis c’est la première que l’on remarque dans l’album, on se dit : « Tiens ! Une chanson en deux parties ! »

Après, on s’était pas dit « On va faire un truc en deux parties », c’est venu comme ça, ça s’est développé naturellement.


Avec le recul, penses-tu que « Red Live Joint » est sorti un peu trop tôt au vu du show que vous proposez maintenant ?

J’pense pas parce que…bon c’était après un seul album studio d’accord, mais on avait déjà quand même fait trois tournées avant ça, et le but c’était de faire un peu un résumé de nos tournées, (Au fond, leur manager fait un signe de main) oui, notre manager dit que c’est pour les soux (rires)…et aussi c’était intéressant, parce que, comme on voulait prendre plus de temps pour « Game of Fools », ça permettait de garder une actualité, et pour ceux qui n’avaient pas eu l’occasion de nous voir sur scène et qui allaient devoir patienter jusqu’à la prochaine tournée, ils pouvaient voir les deux concerts au Raismesfest, et les extraits de celui de Paris, le video-clip…


C’est vrai qu’il y avait beaucoup de contenu.

Oui, il y avait de quoi occuper les fans pendant un moment.


Et donc là, vous n’avez pas comme projet de sortir un nouvel album live.

Euh…pas dans l’immédiat, après on verra, il n’y a rien de confirmé pour l’instant.


Bon, alors là on bascule dans la partie « questions random ». Vous faites globalement beaucoup de dates en France, à quoi cela est dû ?

Et bien c’est là où on a tourné le plus jusqu’à présent, et à la fois notre manager et notre label sont français. C’est donc plus facile à exploiter, il y a plus de contacts, mais bon, on a quand même joué pas mal dans d’autres pays, la Belgique, l’Italie deux ou trois fois, Hollande, Suisse,…on joue partout où on veut de nous !


Malgré tout, ça reste un fait rare, parce qu’on a peu l’habitude de voir de groupes qui passent dans la région (ici PACA), en province. Souvent quand un groupe perce un peu, on les colle en première partie de groupes plus gros, ils passent à Paris et c'est tout.

Ouais, en fait, nous, l’idée, c’est de faire aussi le maximum de concerts en tête d’affiche où on peut vraiment faire un vrai show. En première partie, tu as un set qui est court, tu n’as pas forcément de bonnes conditions. Le but c’est d’offrir un vrai show. C’est vrai qu’à côté de ça, on fait pas mal de festivals aussi, c’est varié. On sera aussi au Hellfest le samedi 20 juin, et ça risque d’être vraiment pas mal puisqu’on sera là les 3 jours de festival, qu’on va pouvoir profiter des autres concerts, en plus il y a une super affiche.



Sinon, tu as certainement dû écouter Airbourne. Y a-t-il chez vous une certaine part de jalousie de voir qu’il y a un gros buzz autour d’eux alors qu’au final, leur musique ne se démarque pas beaucoup d’AC/DC ?

Non, au contraire, pas de jalousie, plutôt on les remercie, parce que du coup il y a un peu le buzz en ce moment autour des groupes australiens. En plus leur musique est super, en live c’est très bon, c’est normal que ça marche, et j’espère qu’un jour on aura l’occasion de faire un truc avec eux.


Ensuite, disposez-vous de nouvelles chansons composées mais non retenues pour l’album ?

Et bien pour l’album, l’idée c’était d’en composer beaucoup plus que ce qui allait figurer sur l’album et on a travaillé sur celles qui venaient le plus naturellement, qui étaient plus faciles à développer, à travailler, mais il nous en reste encore plein sur lesquelles on doit retravailler encore un petit peu. Et puis nous  c’est vrai qu’on arrête jamais d’écrire, que ce soit pendant les tournées ou…tout le temps, on produit pas mal de morceaux et on aurait de quoi faire un autre album déjà. On n’est pas en panne d’inspiration !


Pour finir, y a-t-il des groupes actuellement que tu apprécies ?

Ah oui ! Il y en a plein, j’aime bien Black Stone Cherry, The Answer avec qui on a joué lundi à Toulouse, qui en plus sont des gars vachement sympa,…mais c’est vrai que quand je suis en tournée comme ça, j’écoute pas trop de musique pour me vider un peu les oreilles.


Globalement, tes influences sont plutôt Hard-Rock ?

Non, moi j’écoute des styles de musique vraiment différents, du métal, du blues, du jazz…tu sais, j’ai fait de la guitare classique pendant dix-sept ans…


Bon, je n’ai plus de questions…

(me coupant) Au revoir. (rires)

Y-a-t’il quelque chose que tu voudrais ajouter ?

Comme d’habitude, j’aimerai remercier le public qui nous soutient depuis le début de Koritni et qui vient de plus en plus nombreux, les gens qui font découvrir à toujours plus de monde, qui nous suivent. Il y a de plus en plus de personnes qui nous suivent sur plusieurs dates et qui n’hésitent pas à faire des centaines de bornes à chaque fois pour venir nous voir et ça c’est vraiment génial, et j’aimerai en profiter pour remercier tous ces gens-là, les organisateurs, promoteurs de concerts qui nous chouchoutent…un grand merci.

Et en conclusion, un mot pour Heavylaw, pour les lecteurs.

Et ben, bonne lecture, j’espère que ce que j’ai dit va vous intéresser, et continuez de lire Heavylaw ! lml

0 Comments 10 juin 2009
Whysy

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