Chinchilla, ce n’est pas un nom de Hamster ??? hum trêve de plaisanterie c’est aussi un groupe de Heavy Metal Bien Viril, aussi bizarre parce que bon un Hamster c’est pas le symbole de la puissance, Bon Chinchilla est un groupe Allemand qui évolue dans un style Bien traditionnel, un groupe Allemand de base quoi. Mais alors que certains groupes nous offrent des albums bien monotones, Chinchilla arrive a varier, entre morceaux lents et rapides bon jusque la rien de magnifique, mais tous ces morceaux ont comme une certaine classe, le son est bien propre, on n’a pas l’impression qu’un troupeau d’éléphants nous débarque dans la tête (cf. déferlante de rhinocéros …),Le chanteur a une voix bien rauque (et non rock quoique…) les refrains passent comme des lettres a la poste, les riffs sont puissants tout en restant mélodiques, il y a même de jolies harmonies au clavier (A Dance with the Devil), les paroles sont quant a elles beaucoup plus philosophiques que la plupart des autres groupes ( et oui pas de chevaliers, ni de guerriers de temps en temps il faut savoir varier) en effet quand les groupes précurseurs on ce genre de parole, cela ne dérange pas, mais quand un groupe de heavy sur deux arbore ce genre de paroles cela devient rapidement lourd !!! Bon évidement on retrouve quelques « Fight », chassez le naturel il revient au galop !!! Bon n’étant pas ici pour lancer un débat sur les paroles dans le Heavy Metal (ce qui pourrait être intéressant) je vais revenir vers une chronique plus classique. Bon Chinchilla est un bon groupe de Heavy, avec d’excellents morceaux tels que « A Dance with the Devil » « Our Destiny » ou encore « Madtropolis » morceau éponyme, et franchement je me demande pourquoi ce n’est qu’après autant d’album de leur part que je découvre ce groupe… mais bon mieux vaut tard que jamais, mais tout de même !!! Bon et pour vous qui ne connaissez pas c’est encore pire allez vite m’écouter ce cd et que ça saute !!! Shao

Udo Gerstenmeyer : Guitars
Chris Schwinn : Drums
Tommy Laasch : Vocals
Josh Näberle : Bass
Artur Diessner: Keyboards