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Review: English AbstractScore is maybe the best live DVD and album that Dream Theater has ever made. One other three hours length live with some songs like six degrees of inner turbulence played entirely, that represents fourty five minutes of music. We must mention also the song Octavarium from the last album that is a twenty minutes length song. But what’s the difference with the other shows. First the singer, james labrie got a perfect clean voice. His problems with high parts seem to have disappeared. James the duck is gone. And last but not least, there is a symphonic orchestra with the band. The orchestra increases the emotional parts and for sure the orchestral parts. And as ever, Dream Theater give a perfect gig with amazing musical parts. If you like virtuosity, progressive rock and metal, you should know Dream Theater. A première vue, encore un live de plus pour Dream Theater semblait banal et peu justifié mais le groupe n’a jamais donné dans le commercial et s’efforce à chaque fois de fournir, soit par soucis de respect envers les fans ou à titre de plaisir personnel, un produit intéressant et différent de ce qui a été fait jadis. Alors quoi de mieux pour souffler ces 20 ans de carrière que de prendre d’assaut la très belle salle du Radio Music City Hall de New York et de retracer l’espace de quelques heures l’émouvante épopée des américains devant un parterre de quelques 6000 fans venus idolâtrer les musiciens ? Et afin de fêter l’évènement en grande pompe, un orchestre s’est immiscer, conférant un caractère authentique aux morceaux les plus symphoniques et épiques du groupe, à savoir Six Degrees Of Inner Turbulence, Octavarium et Scenes From a Memory Part I Arguments de choix puisque les deux premières pièces épiques n’étaient pas visibles en DVD et seuls les chanceux ayant assisté aux tournées avaient pu les savourer. Si on atteint cette fois-ci pas tout à fait les trois heures de show presque habituels du groupe, on arrive tout de même à 2H40 de live proprement dit. Mais le DVD Bonus vient alors à la rescousse nous offrant des vidéos live non superflues de Another Day, The Great Debate et Honor Thy Father ainsi qu’un reportage très bien bouclé retraçant l’histoire du groupe. En effet, on fera une petite visite au Berklee College et on aura des interviews de divers membres actuels bien entendu, mais aussi ayant une place dans cette rétrospective.  Mais pour en revenir au show, le groupe fournit donc une setlist tout à fait alléchante suffisamment pertinente pour que les gens ayant acheté le Live At The Budokan, sorti trois ans auparavant, mettent à nouveau la main au porte-monnaie. Bien entendu, l’orchestre apporte beaucoup au show permettant à des chansons comme Vacant, qui est un duo chanteur/Orchestre, et les morceaux épiques à grandes parties symphoniques, de trouver leur pleine expression. Mais ce DVD est intéressant à plus d’un titres : il permettra aux fans de découvrir des chansons comme Another Won, une des premières compositions du groupe, et Raise The Knife qui aurait dû figurer dans Falling Into Infinity dans la version double tant désirée par le groupe. Si les œuvres des premiers jours, ou pré-Labrie (les « Majesty Days ») ne sont pas du même niveau que le reste, elles ne manquent en revanche pas de mordant et il est tout à fait sidérant de constater la maturité de ces compositions et la maitrise technique manifeste dont faisaient déjà preuve les compositeurs (Petrucci, Myung, Portnoy). Raise The Knife, quant à elle, nous donne à voir ce qui aurait pu être un Falling Into Infinity, dans une version double, souvent injustement oublié de la discographie du groupe.  Instrumentalement, forcément ça respire la sérénité, aussi bien dans les passages virtuoses à la Scenes From a Memory Part I, que sur les passages plus sensibles comme l’ouverture de The Spirit Carries On par John Petrucci avec un solo tout en feeling rappelant pour beaucoup celui qu’il avait mis avant Hollow Years sur le précédent Live. Alors oui on n’a pas d’instrumental comme l’était l’Instrumedley à Tokyo, mais les titres épiques ne manqueront pas de desservir les fans assoiffés de pur instrumental. Les musiciens semblent au top de leur forme, Mr. Portnoy et Rudess se font plaisir et ça se voit. Même James Labrie semble au top de sa forme et retrouve une qualité quasiment égale à celle fournie en studio.  Score est à la fois la conclusion d’une tournée, une consécration ayant un goût de fin. Et oui Dream Theater est pour moi rentré dans la catégorie légendes du rock/métal. Mais ce n’est pas pour ça que le groupe en a fini avec la musique puisque leur jeunesse laisse encore de beaux jours devant eux aux américains qui signent ici leur meilleur live. Bravo messieurs.  Dreamer

0 Comments 11 avril 2007
Whysy

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